Les apprenti-e-s souffrant d'un handicap sensoriel ou physique peuvent faire valoir une compensation des désavantages. Exemples : handicap auditif ou visuel, dyslexie ou dyscalculie, trouble moteur, cognitif ou psychique, trouble du spectre autistique ou trouble du déficit de l'attention (avec ou sans hyperactivité).
L'octroi de la compensation des désavantages est soumis à l'expertise d'un-e spécialiste*. Cette expertise se rapporte à la situation actuelle du niveau secondaire II et reste valable pour la durée de la formation.
*Les expertises peuvent être réalisées par des personnes disposant d'un titre de spécialisation reconnu au niveau fédéral dans les disciplines de la neuropsychologie, de la neuropsychiatrie, de la psychologie de l'enfant et de l'adolescent, de la psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent ou de la psychothérapie.